Écrits d'une âme déchue

Ne me demande jamais plus de recommencer

Ne me demande jamais plus de développer

Ne me demande jamais plus de te parler

Sachant qu'à toi, jamais je n'avouerai

Une ouverture, une blessure

Un regard digne d'une brûlure

Un sourire, de rupture

Une ignorance, une torture.

Je ne comprends pas pourquoi ces gens sourient

Pourquoi avec tant de mensonges ils se forment une vie?

Paroles creuses, désireuses

Leurs fausses affections se font dévoreuses!...

Un groupe se monte, des têtes tombent,

Au lieu d'aller les voir, vaut mieux creuser ta tombe

Oubliant notre guide qui est une colombe

Ils se moquent jusqu'à nous descendre aux catacombes.

Alors voilà, commence l'amertume

Vouloir l'approcher c'est comme frapper dans du bitume!

Ce qu'elle regarde, une foi légère comme une plume

Alors je me détourne, et bien sur j'assume!

Dans ces moments là je me met à penser:

Arrête de bouger sinon j'vais t'fracasser,

Arrête de bouger sinon j'vais te saigner,

Si tu continues, j'vais être obligé de te briser!

Mais seulement voilà, un ami m'interdit

Pour pas devenir faux comme le sourire d'un ennemi.

M'éloignant, m'asseyant, je ressasse ma vie

Et avec un seul mot, je lui dit à l'écrit.

Je t'aime! comme regarde une mère son enfant,

Je t'aime! comme les baisers d'un amant.

Je t'aime! comme le ressens un mari aimant,

Je t'aime! comme un homme, pour son amour, devient transparent...

Et pour ajouter à ma tristesse,

Tant de connaissances disparaissent,

Pour retrouver le "Monde", elles se délaissent,

Et ainsi en récupèrent toute sa bassesse...

Toutes des pies, une fausse petite amie,

Tout ces gens qui nous entourent et blessent mes amis.

Un mec musclé qui se conçoit dans le banale,

Et qui, espérant, un jour devenir mon rival...

Un entourage emplit de mensonges

Un cœur qui dans la tristesse s'allonge.

Des âmes qui ne sont vu que dans les songes,

Un groupe d'amis simple que le déni, dans l'oubli, les plongent...

Un ami qui flanche et tout le monde s'en balance!

Ceux qui se prennent pour des protecteurs, alors que ce ne sont que des losers!

Ceux qui se prennent pour des beaux ne sachant jouer qu'un seul morceaux!

Et enfin, à côté, des types biens que les filles aiment moyen...

Ne me demande jamais plus de recommencer

Ne me demande jamais plus de développer

Ne me demande jamais plus de te parler

Sachant qu'à toi, jamais je n'avouerai

Cette fille qui sourit mais pas du tout pour lui,

Cette fille qui quand le voit, aux autres sautent dans les bras,

Cette fille qui n'à pas d’œil pour toi,

Cette fille, Ellona, n'est surement pas faite pour toi!

Mais un conseil, à toi qui est moi,

J'espère que jamais tu n'abandonneras!...

Une ouverture, une blessure

Un regard digne d'une brûlure

Un sourire, de rupture

Une ignorance, une torture...